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Les grands textes du XIXe siècle.
Selon le voeu de Baudelaire, Les Fleurs du mal devaient s'intituler Les Limbes, ce lieu incertain où son désespoir hésitait entre le ciel et l'enfer, entre un idéal de pureté et ce mal du siècle exaspéré qu'il nommait le Spleen.
Partagé entre l'horreur et l'extase de vivre, dans cette oeuvre qui se confond avec sa vie, il a tenté de le repousser par le culte du Vice et des paradis artificiels, du Voyage et de l'Exil, de la Beauté, de la Volupté et de la Mort.
« Dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon coeur, toute ma tendresse, toute ma religion, toute ma haine », ce livre dont le pouvoir d'enchantement semble, aujourd'hui encore, infini.
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